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Brick

BRICK

de Rian Johnson

avec Joseph Gordon-Levitt, Nora Zehetner, Lukas Haas


 

Du teen movie, on en a vu en masse… du bon et du franchement pourri, si bien qu’on se demande ce qui peut bien sauver le genre.

Brick est un film de Rian Johnson (réalisateur du fameux épisode “la mouche” de Breaking Bad) promu en 2005 à Sundance et son originalité réside dans le fait que l’histoire se calque sur les codes du polar le tout chez des étudiants aux US…. et c’est franchement bien !

 

Brendon est un jeune un peu asocial, à l’imper gris de Columbo et au look atypique. Il sort de sa routine en recevant un coup de fil affolé d’une amie : Emilie.
Ce synopsis suffit ! Ne lisez rien d’autre, ne cherchez rien d’autre sur le net et ne regardez pas la bande annonce qui en dit trop. Regardez le film.

Vous détestez les polars, et vous n’avez pas pu blairer American pie ? Entrez-donc par içi…

 

 

D’ordinaire le cliché, c’est l’ennemi du bon film. Le chat noir qui sort du placard dans le film d’horreur, la fête orgiaque dans le teen movie, la veuve noire du polar… autant de promesses non tenues qui se solderont par des déceptions… autant de minutes gâchées et qui perturbent le propos.

D’ordinaire…

Brick n’est pas que la coexistence des clichés, de codes liées au genre… Le scénariste et réalisateur n’hésitent pas à mettre directement en scène les codes eux même, si bien que l’on ne sait plus si c’est le teen movie qui rend hommage au polar… ou bien l’inverse !

Brick : Brendan en voitureLa force du mélange donne lieu à un mystère épais qui entoure le dessein même du film : tout de suite on est perdu quand aux intentions des personnages et d’un seul coup,  on ne sait plus dire s’ils appartiennent à un monde ou à un autre.

A chaque scène, on devient donc enquêteur sur le film et sur ses personnages, un peu par réflexe. c’est assez déroutant, ça tombe bien, c’est un thème du film.

Quand nos idées reçues alimentent le récit…

Quand Brendon prend son rôle, petit à petit on l’imagine de plus en plus en jeune sans repère … ou en enquêteur de police. Il en va de même pour tout les personnages.
Brick, c’est l’attraction de faire son propre récit: le spectateur ne peut s’empêcher de superposer des souvenirs d’autres films à ces lycéens que l’on croiraient tous sortis d’un reportage sur la jeunesse américaine perdue.
Et on se prend au jeu tant le sentiment de d’inclusion au récit en renforcé par une tension maitrisée et une dispensation d’indices précieux et précis.

C’est bien simple, tout ce qui n’est pas montré à l’écran n’est que noirceur, digne de Breaking bad… c’est à s’y méprendre d’ailleurs sur le rôle du réalisateur dans la conception de la série.

 

Au final, le scénario est surréel, mais le sentiment à la fin du film est celui de la résignation : toutes les histoires sordides on un aspect surréalistes.
Visuellement certains passages du films rappellent Elephant de Gus Van Sant, notamment sur la description d’un lycée américain. Mais encore une fois, Breaking Bad n’est jamais loin avec ses musiques oppressantes et son vide qui devient personnage à part entière.

Brick ne fera certainement pas l’unanimité, mais rien que pour l’histoire et les jeux d’acteurs de qualité, n’hésitez pas.


Fiche sur Allociné : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=108595.html

 

 

J. Edgar

S’il est un réalisateur contemporain qui multiplie les styles différents de cinéma, c’est bien Eastwood.

Le vieux Clint, mis à part le souvenir impérissable de l’homme des hautes plaines , a tant varié les genres, que l’on ne sait plus où on en est.

Je me demande toujours comment on peut passer de Impitoyable à Iwo Jima, du Maître de guerre à Invictus ou de La route de Madison au “tout nouveau tout beau” J. Edgar

Tout nouveau, tout vieux

Le tout nouveau traite de la vie de Hoover, le cinglé à qui les USA doivent le FBI.

Sauf que sans être désagréable à regarder, J. Edgar est long et quand même un peu loupé.

Ce film est fait de la mauvaise patte historiographique d’Eastwood qu’il nous avait déjà servi avec Invictus, et avec l’horrible duo La mémoire de nos pères / lettres d’Iwo Jima  : à savoir l’attentisme, une mise en scène égalitaire souhaitant démontrer que les petites histoires font la grande histoire  : une vision égalitariste des opportunités et risques qu’on su saisir les les grands hommes et ce toujours de manière partiale et surtout, beaucoup de bons sentiments.

Allez voir J. Edgar et faites face encore une fois au destin de ces hypothétique géants de l’histoire… histoire qui apparaît écrite, tracée, immuable, figée et poussiéreuse, autant de stigmates de la mise en scène volontairement longue et statique de Clint.

 

Une vieille histoire de style !

Le problème c’est que si le plan fixe et le silence sur fond de clair obscur se prête aux petites histoires chez Eastwood, le même calque sur les hommes célèbres ou sur les clichés historique ne peut fonctionner, chacun associant aux personnages son idée de l’homme, de l’époque de l’histoire (la grande).

Sur ce même piège s’était déjà empalé Oliver Stone avec Alexandre (blond hair re-colored ), mais pour la démonstration mieux vaut un exemple :

– Dans Invictus, Morgan Freeman qui confond le rôle de Mandela avec celui de Dieu dans Bruce tout puissant et matt damon aussi expressif que le présentateur des chiffres et des lettres… l’une des pires scènes, aucune émotion réelle, sauf que j’ai bien failli chialer (7€ la place :/ )

– Dans l’immense Impitoyable, le vieux Clint himself qui campe un péquin complètement inconnu et qui donc n’a aucun engagement historique, MAIS qui prend son temps pour le décrire

A chaque fois, les plans fixes sont répétés, pas de musique, mais la diction, l’image correspond mieux à ces scènes de vieux avec jeune qui meublent les films d’Eastwood à chaque fois qu’il aborde le thème de la transmission.

Sauf qu’en regardant les deux extraits on ne peut que taper deux sur son téléphone tant les micro expressions existent dans Impitoyable, les personnages ne sont pas contraints, et la profondeur de champ de la plaine est évocatrice. A regarder Invictus, on pourrait penser que Mandela était président d’un cabinet dentaire… pitoyable donc.

 

OK mais l’acteur ça compte… me direz vous … et c’est sans doute pour ça que Clint se tape lui même beaucoup de ses rôles, mais dans le cas précis de J. Edgar, Di Caprio excelle… c’est pas tant ça le hic.

Le problème est ailleurs, dans les (télé-?)lubbies du vieux qui a en sainte horreur dans ses plans planplan (haha hoo hihi) de voir un corps s’agiter. Ainsi, autour du film, vous pourrez goûter aux interviews industrielles de Di Caprio durant lesquelles on ne manquera pas de vous expliquer que pour le film, il a claquer 8M€ pour le maquillage, 7M€ pour les implants capillaire afin de mieux ressembler au facho à qui est dédié le film, et le PIB du Burkina Faso en costard.

Vraiment le hic, c’est que De Caprio est bon voir très bon, comme Damon, quand il ne reste pas statique, et là, il ne bouge dans AUCUNE SCENE BORDAYL. De même, dans le trailer on retrouve la typique voix off – scénario du pauvre inside – qui infestait Iwo Jima etc etc….

Non sérieusement, il y a rien à y faire, il a beau être filmé avec du niveau et les temps grisonnantes en 3D Dolby, si Caprio ne bouge pas, il n’insuffle pas assez d’intensité, pas beaucoup de charisme, et personne couche avec lui sur le titanic. On se demande pourquoi les gens aurait suivi un mec qui fait plus VRP de funéclair que super visionnaire.
Pour exister, les personnages que le spectateur peut se représenter à l’avance ont besoin de dynamique. Je pensais pourtant que tout le monde avait vu Ali .

 

STP Clint, arrête l’historique… 

Le film historique c’est compliqué, il ne faut pas d’anachronismes, il faut pouvoir adapter certaines valeurs morales à des idées compatibles avec nos préoccupations contemporaine, et il faut pouvoir expliquer le contexte dans les 20 -40 premières minutes.

Mémoires de nos pères et Lettre d’Iwo Jima étaient bien chiants, mais le second avait le mérite d’amener un peu de poésie et de belles images.

Rassurez vous, dans J. Edgar vous n’aurez RIEN !

Seule la photo et la perf de Di Caprio sauve un peu le truc (mais en même temps à 95% du temps à l’écran, c’est limite une expo), et si vous veniez voir J. Edgar l’un des hommes les plus puissant du 20ème siècle, vous allez découvrir le détail de psycho magazine sur les détails des relations avec maman entre deux auditions au congrès.

Plutôt que de parier sur des sources incorrectes sur la vie de Hoover j’ai tend plus à penser qu’Eastwood n’a pas cherché à faire un film d’histoire mais ENCORE une fois un film sur les origines de son pays…. des origines de sa nation et ce côté historique USA qui ne pouvait être autrement, tout comme les gens qui y ont participé n’aurait jamais pu faire d’autre choix : in USA we trust.

Une remarque sur l’histoire Lindberg par ci, une attention sur le combat anticommuniste de Hoover très détaillé par là (en passant bizarrement  sous silence sa lutte contre le clan ou en surfaçant son rôle limite face au mouvement noir) … bref tout ça donne au film un ton partisan qui m’était bien pénible déjà au moment de la sortie des films sur la guerre contre ces salauds de jaunes.

Sauf que ce n’est pas en “lisant des poèmes japonais en voix off” qu’on va refaire Voyage au bout de l’enfer et ce n’est pas en faisant un plan fixe sur “le biographe du FBI en costard 3 bouton qui écoute le vieux Hoover raconter ses mémoires” qu’on va refaire vivre l’ambiance trouble du pouvoir USA façon Nixon.

 

–> Par contre, continue à faire des films originaux et à tordre des histoires

Où est donc passé le génie du vieux pour les métaphores, que ce soit la voiture Gran Torino que ce soit le fleuve dans Mystic River ?

Où est passée la liberté des scénarios comme dans Million dollar baby, Space cowboys ?

Quand est ce qu’on voit des répliques qui poutrent ???

-> DNC / jamais. Clint vieilli on dirait.

Parce que lorsqu’on revoit Mystic River  on se convainc tout de suite qu’Eastwood sait filmer les émotions, les personnalités complexes. Ce n’est que lorsque le personnage doit apparaître au fur et à mesure du film que son cinéma est de qualité.

 

JE DIS CA J’DIS RIEN

après c’est sûr, y en a qui kiffent de payer 8€ pour voire un docu de qualité France 5

merde à eux et aux critiques ciné alors !

 

 

IHE / HL7 du fun en SIH : LESSON ONE – IHE-SVS !

MERCI !

Tout d’abord je tiens à remercier Patatozor pour la place qu’il nous laisse sur son site !
Merci, enfin une tribune pour le IHE / HL7 amateur/semi-pro !

Pour remonter aux sources, il faut quand même parler du début, IHE / HL7 (pour les puristes ASTM rocks!) ce n’est pas que de la grosse compétition internationale, c’est aussi des passionnés, qui se lance des défis entre eux et essaient de repousser les limites de la folie;

Combien de fois ne nous sommes pas dits “ce mouvement pourrait être mieux transmis par ma GAM… mais qui pour tester les Z99 ?” et … personne pour en parler
La community de pure players pourra remercier Patatozor !

 

LESSON ONE : IHE-SVS YEaaaaahh

Je sais que d’ordinaire on commence avec des basiques, mais c’est aussi ça l’interop, c’est le fait de kiffer la nouveauté et de ne pas hésiter à dire que tout à changer du jour au lendemain… héhé

Aujourd’hui je vous propose un petit bootkit sur la nouveauté du moment aux states, les value set !

Tout part d’une idée : les nomenclatures aux perfs moyennes, les tables à papa, c’est fini.

D’ailleurs en terme d’urbanisation, cet aspects à toujours été problématique, et ce, dès la CIM…

Si la pratique du Webservice se fait sentir dans quelques applis web, il faut dire que dans la plupart des produits pro, on retombe encore sur le bon vieux select oracle… et ça rame copieux
Ne parlons pas des changements de version de CCAM, le casse tête …

Les gars de chez IHE se sont naturellement dit qu’il était temps de normaliser tout ça, et ils réutilisent les bonnes recettes HL7 !!

IHE HL7 Yeaah
en famille c'est bien aussi

 

Alors le value set .. kesako ?
Les value sets, (jeu de valeur en bon Français), ce sont simplement les liste de codes / libellés issues de nomenclatures.

Pourquoi ne pas utiliser les nomenclatures en base directement  ? ( me direz vous si vous n’avez pas encore décroché…)

Exemple : vous souhaitez permettre dans un moteur de formulaire la sélection d’une affection issue d’une nomenclature, par exemple CIM : il faut que l’utilisateur puisse chercher, et trouver partir de votre interface dans la CIM :

(L02) Abcès cutané, furoncle et anthrax

Ok, vous me dites un select

Sauf que parfois et voir souvent, un formulaire se limite à 2-3 codes CIM bien identifiés, si vous ne faites QUE SOIGNER DES FURONCLES TOUTE LA JOURNEE §§§§§§§§§

Imaginons un service oncologie, les codes CIM de telle ou telle RCP sont “limités”. En RCP dermato, on se limite à certains codes CIM liés à la prise en charge.
On va pas refaire une vue oracle avec un autre select pour chaque formulaire… et on va demander aux secrétaires médicales d’apprendre les codes CIM, … et avec la rotation des équipes, c’est pas productif.

La nouveauté : le jeu de valeur…

Les value set vous permettent de définir une sous sélection d’une, ou de plusieurs nomenclatures.

  • Une nomenclature est désignée par un OID.
  • Un value set est aussi désigné par un OID.
  • Un value set peut rassembler des items issus de nomenclatures différentes
  • Dans une nomenclature il y a pour chaque item un code e t un libellé au moins. Le code de l’item se rapporte dans sa nomenclature d’origine

La pratique : le jeu de valeur style WebService

IHE-SVS définit des wsdl pour l’interrogation d’un registre / entrepôt de Value Sets.

Ci-dessous : une requête SVS qui demande le content du Value Set 1.2.840.10008.6.1.308 en anglais SVP monsieur le serveur !

<?xml version=”1.0″ encoding=”UTF-8″?>

 

<s:Envelope xmlns:s=”http://www.w3.org/2003/05/soap-envelope” xmlns:a=”http://www.w3.org/2005/08/addressing”>

 

<s:Header>

 

<a:Action s:mustUnderstand=”1″>urn:ihe:iti:2008:RetrieveValueSet</a:Action>

 

<a:MessageID>urn:uuid:0fbfdced-6c01-4d09-a110-2201afedaa02</a:MessageID>

 

<a:ReplyTo> <a:Address>http://www.w3.org/2005/08/addressing/anonymous</a:Address> </a:ReplyTo>

 

<a:To s:mustUnderstand=”1″>http://valuesetrepository/</a:To>

 

</s:Header>

 

<s:Body>

 

<RetrieveValueSetRequest xmlns:xsi=”http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance” xmlns=”urn:ihe:iti:svs:2008″>

 

<ValueSet id=”1.2.840.10008.6.1.308″ xml:lang=”en-EN”/>

 

</RetrieveValueSetRequest>

 

</s:Body>

 

</s:Envelope>

et la réponse :

<?xml version=”1.0″ encoding=”UTF-8″?>
<s:Envelope xmlns:a=”http://www.w3.org/2005/08/addressing”
xmlns:s=”http://www.w3.org/2003/05/soap-envelope”>
<s:Header>
<a:Action s:mustUnderstand=”1″>urn:ihe:iti:2008:RetrieveValueSetResponse</a:Action>
<a:RelatesTo>urn:uuid:0fbfdced-6c01-4d09-a110-2201afedaa02</a:RelatesTo>
</s:Header>
<s:Body>
<RetrieveValueSetResponse xmlns:xsi=”http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance”
xmlns=”urn:ihe:iti:svs:2008″ cacheExpirationHint=”2008-08-15T00:00:00-05:00″>
<ValueSet id=”1.2.840.10008.6.1.308″ displayName=”Common Anatomic Regions Context ID 4031″ version=”20061023″>

 

<ConceptList xml:lang=”en-US”>
<Concept code=”T-D4000″ displayName=”Abdomen” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
<Concept code=”R-FAB57″ displayName=”Abdomen and Pelvis” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
<Concept code=”T-15420″ displayName=”Acromioclavicular joint” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
<Concept code=”T-15750″ displayName=”Ankle joint ” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
<Concept code=”T-280A0″ displayName=”Apex of Lung” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
<Concept code=”T-D8200″ displayName=”Arm” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
<Concept code=”T-60610″ displayName=”Bile Duct” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
<Concept code=”T-74000″ displayName=”Bladder” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
<Concept code=”T-04000″ displayName=”Breast” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
<Concept code=”T-26000″ displayName=”Bronchus” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
<Concept code=”T-12770″ displayName=”Calcaneus” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
<Concept code=”T-11501″ displayName=”Cervical spine” codeSystem=”2.16.840.1.113883.6.5″/>
</ConceptList>

 

</ValueSet>

 

</RetrieveValueSetResponse>
</s:Body>
</s:Envelope>

Comme vous pouvez le voir, le VS d’OID 1.2.840.10008.6.1.308 , désigne en fait un jeu de valeurs pour les régions anatomiques qui énumèrent des valeurs qui sont compatibles avec la SNOMED ( tous les codes donnés sont issus du Code System 2.16.840.1.113883.6.5).

L’intérêt pour les praticien est certain : il peut grouper ou bénéficier du groupage de certains informations directement en la sélectionnant dans une nomenclature reconnue. Oubliées les tables de transcodage quand on veut juste se concentrer sur une spécialité en réalisant son formulaire.

L’intérêt macro est le partage de document et l’interop : ainsi dans un formulaire CDAR2 Niveau3, l’item choisi est décrit, et seul SNOMED est cité, le value set n’a que peu d’intérêt… les logiciels se comprennent !

L’exemple traite de SNOMED, mais c’est applicable à n’importe quelle nomenclature dès qu’elle est identifiée par un OID, mais c’est souvent le cas !!

MAIS BIEN PLUS §§§§§

Il y a bien d’autres fonction pour les recherches complexes ou pour rechercher dans le registre les valueSets existants, mais je vais pas gâcher le plaisir (si si) de la découverte alors je vous file direct le lien du Trial Implementation de IHE
http://www.ihe.net/Technical_Framework/upload/IHE_ITI_Suppl_SVS_Rev2-1_TI_2010-08-10.pdf

On peut aussi jouer avec le méga serveur PHIN VADS du CDC US, qui est une implémentation de registre/entrepôts de valueSets
https://phinvads.cdc.gov

 

 

GOODIES :

Comme vous avez lu jusqu’ici, je vous félicite, et même si on touche à la fin des fêtes, je vous donne l’URL de motorcycleguy qui vou souhaite un joyeux noël et une bonne année en HL7V3 : http://motorcycleguy.blogspot.com/2011/12/happy-holidays-hl7-v3-style.html

 

have fun ! et à bientôt pour de nouvelles aventures !!!