Comme beaucoup, le dernier album de Larcenet (Attila le Hun) m’avait déçu : enlisement de l’histoire, une philosophie qui se mord la queue…
Avec cet album, nous revoilà dans la fraîcheur et la spontanéité : une approche satyrique pleine d’humour qui permet à l’auteur de défendre ses idées sur la société et le regard qu’il lui porte.
Ca lorgne un peu vers “le retour à la terre”. Néanmoins, on retombe vite sur les pattes de la critique avec les dénonciations des multinationales de l’agronomie et de la malbouffe.