Circum Navigation

Pourquoi ce titre si mystérieux?

Même moi j’ai du mal à l’exprimer. C’est surement à cause de cette saloperie de rocade bouchée ce matin, de cet abruti qui a pris la voie de télépéage rapide sans avoir de boitier. C’est peut être du au remplacement des rouleaux de PQ par un distributeur de petites feuilles fines et traitresses qui nous oblige dans le doute à utiliser une quasi liasse( sauf si la feuille qui est sensé appeler les autres est resté perfidement dans le distributeur).

mais encore plus incroyable, cette expression a fait remonté de douloureuses expériences maritimes de ma jeunesse. mais là n’est pas le sujet de cet article. Donc j’en causerai en fin d’article.

Place au cinéma, show must go on, welcome to the kabaret, salade tomate oignon : 2 nouveaux films regardés

 

L’agence (The adjustment Bureau) : Film fantastique (et non pas de science-fiction à mon humble avis) : Adaptée d’une nouvelle de Philippe K. Dick (ce qui déjà promet), le film nous dépeint le destin d’un jeune député, david Norris, doué et prometteur dont la vie se trouve à la fois bouleversée par une défaite électorale et une rencontre plus qu’improbable avec une femme. Pourtant tout semble se lier pour empêcher notre héros de revoir cette personne. Mais tout semble aussi se faire pour que le destin les réunisse de nouveau.

Si ambiguïté, il y a c’est que derrières les apparences, une “agence” se charge de manipuler les événements pour les faire coller au Maitre Plan du Grand Patron (Signalons que jamais le nom de Dieu n’est prononcé).

David Norris, découvre par accident l’existence de cette organisation et se voit contraint de renoncer à revoir la femme qui l’aime, ce qu’il se refusera de faire.

Je vais éviter d’en dire plus. C’est le genre de films où en dire trop gâche tout l’intérêt de voir le film. Pour parler du reste, la réalisation, la mise en scène est correcte. Le jeu des acteurs est bon même si je commence à avoir un peu de mal avec Matt Damon. Je trouve par contre que la fin du film fait un peu too much.

Mais l’originalité l’emporte sur les quelques défauts apparents du film : à Regarder.

 

Priest : ce qui est bien avec les nanars, c’est qu’on les sent venir de loin. Quand on regarde le film en version 3d, le “loin” prend tout son sens. Quelques signes avant coureurs du phénomène s’étaient fait sentir : un scénario improbable (des prêtres Gi-Joe qui combattent des vampires), un réalisateur unijambiste qui avait déjà pondu le film Legion. Pour le reste, les décors, les effets spéciaux, ça tient la route même si on sent qu’on a pompé l’inspiration ici et là (le coup des statues géantes fait penser à celles du seigneurs des anneaux).

A part ça, c’est mal joué, mal amené et l’ambiance western qui aurait pu être un plus est franchement mal exploitée (les plans sont serrés ou dans le noir dès qu’on est obligé de mettre du vrai décor).

En fait, on comprend pas grand chose dans tout ça.

Une daube plus qu’un nanar.

 

 

 

Ah j’oubliais, l’épice n’existe que sur une planète et cette planète se nomme..

Euh non, c’est pas ça… Je voulais vous recauser de circum navigation. Ça m’a juste rappelé quand je jouais à Civilization premier du nom (celui tout plat). A un moment, on acquérait enfin la connaissance maritime et on pouvait construire des trirèmes. mais attention, pas question de partir vers des horizons inconnus car on ne connaissait pas les cartes et la boussole. Le seul moyen de découvrir de nouvelles terres étaient de longer les côtes lentement et surtout lentement. Il ne fallait pas faire le téméraire et s’éloigner sinon le bateau coulait corps et âmes au bout de 2 tours. Mais des fois on n’avait pas le choix et on sacrifiait de l’équipage à tour de bras. Sale époque…

 

 

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