Le reste…

Numéro Quatre : Un film sympatoche avec plein d’air de déjà vu : des jeunes avec des pouvoirs en devenir qui viennent en fait d’une autre planète parce que des méchants veulent les tuer : distrayant sans plus.

Salt : Thriller d’espionnage qui remet au gout du jour les complots venus de l’Est. C’est rythmé, le scénario quelque peu original mais certaines ficelles sont un peu grosses. Distrayant

Red : Là encore thriller d’espionnage. on prend une tripotée d’anciens espions retraités. On leur fait reprendre du service pour péter la tronche à des petits nouveau et accessoirement sauver leurs peaux, car témoins gênants d’une opération resurgie de leur passé. Les acteurs ont l’air de bien s’amuser (Malkovitch surtout) : encore du bon divertissement.

Fatal : celui, j’ai mis un moment avant de me décider à le regarder. Comme je m’y attendais c’est très pipi caca vomi. Néanmoins La satire du monde de la musique et du showbizz, quelques gags excellents sauvent le reste. Si vous manquez de tolérance sur l’humour bas de ceinture, passez votre chemin.

Thor : en tant que Super Héros, Thor ne m’a jamais vraiment attiré. le concept du dieu blond nordique avec de belles paroles et un gros marteau, très peu pour moi. Le film ne démérite pas : ennuyeux, tout dans les effets spéciaux, des acteurs qui ont l’air de s’emmerder grave (hopkins) ou accessoirement qui se sont retrouvés par hasard (nathalie portman en rôle de nunuche) : A éviter sauf pour les fans inconditionnels.

Space Batttleship : on pourrait se réjouir de l’adaptation de l’ancêtre d’Albator. On a bien des batailles spatiales, des effets spéciaux sidérants. Mais pour le reste on se heurte à la façon de jouer des japonais qui n’a pas évolué depuis Sankukaï : ça surjoue, ça s’agite pour rien, ça traine en discussion inutile, ça se sacrifie à tour de bras mais on met longtemps à mourir histoire de recoller du dialogue. OK, c’est une autre culture mais j’ai du mal. Après je suis toujours abasourdi par les combats de vaisseaux spatiaux : j’ai du mal à imaginer qu’on arrive à piloter un vaisseau dans un espace 3d entouré de salve de tirs lasers et s’en sortir indemne. J’offre au passage une spécial dédicace au capitaine du vaisseau qui est tellement expressif qu’on le croirait empaillé. On sent aussi que Galactica est passé par là. A fuir…

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