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Que d’eau, que d’eau

Quand j’étais jeune, la pub vendait du rêve, de la folie : des voitures qui sortaient d’un porte avions, des valises qui survivaient à un crash d’avion, des extra-terrestres qui aimaient les pâtes. Il fallait déclencher la consommation par le phantasme.

Avec le crise, c’est fini tout ça, on veut rassurer, cocooner et en avoir pour notre argent. C’est ce que j’ai ressenti en voyant une pub il n’y a pas si longtemps.

Mais remontons dans le temps jusqu’en 1995. Depuis la première guerre d’Irak, on trouvait ça classe de se payer des consultants et spécialistes pour vendre sa soupe. Volvic nous fit le coup en nous fourguant un vulcanologue digne de ce nom avec un cv long comme ça. Pour rajouter du glamour parce que quand même, et comme dirait notre amateur de montée de grue, c’est une pub pour les bonnes femmes, on fit un plan rapproché de son visage en clair obscur pour la faire beau gosse (c’était pas gagné). On stimula le côté timide et coincé du scientifique pour stimuler l’envie de gros poutoux. On fit la même chose plus tard avec Zidane mais avec moins de succès côté scientifique.

ce qui donnait ça :

 

C’est beau, n’est ce pas…

Même moi je me sens épris d’une envie folle d’être ni bon, ni méchant et de vivre. Putain encore Nietzsche !!!

Mais tout ça c’est fini. Il faut rassurer, fini le rêve : on veut des chiffres, des normes et combien d’espérances de vie en plus

Et on inventa M. Papillaud, l’homme des pubs Rozana. Derrière lui, on a calé un fond bleu filmant en continu les volcans d’Auvergne. On a du embaucher le type qui faisaient tourner en boucle la mer dans la croisière s’amuse.

Quant à Monsieur Papillaud, il me fait immanquablement penser à la marionnette de Jacques Chirac dans les Guignols. Affublé d’un costume de chez Jean-Jacques Style, le falzard remonté juste en dessous des tétons, une veste taillée trois taille au dessus, il nous explique tous les bienfaits de Rozana. On s’attend presque à voir arriver une petite fille à la fin lui demandant : “Papi, je peux lécher la cuillère”. Mais je m’égare

 

 

Abdos attardés

couvbigIl m’a fallu encore une idée stupide pour que l’envie de réapparaître sur ce blog me prenne

Déambulant côté presse, je suis tombé sur la couverture du dernier numéro de Men’s Health avec son titre accrocheur “Un corps parfait en 4 semaines seulement”.

Je ne sais pas comment on peut faire des effets d’annonce aussi con.

– On n’est pas tous égaux devant cette revendication. Entre celui qui pleure pour ses quatre kilos de trop et celui qui est en état d’obésité morbide, cherchez l’erreur.

– Ensuite, c’est quatre semaines comment? En vrai temps d’exercice ? 4 semaines équivaut à 672h. Imaginons que vous avez un niveau acceptable de motivation avec une heure d’exercice par jour. Ca vous fait quand même deux ans pour espérer.

– Même avec un méthode brute-force à coup de liposuccion, de silicone, de protéines et de parcours du combattant avec l’armée colombienne, vous aurez en effet un corps parfait qui tiendra bien dans votre costume parfait dans votre cercueil parfait.

– Et puis le corps parfait en quatre semaines, c’est la porte ouverte à des années d’angoisse et de crainte de prendre 100g sur la balance, à s’arracher le moindre poil blanc sur le téton et finir en vieux beau un peu comme ce modèle très représentatif.

Vous l’aurez compris, ça servira surtout à faire maigrir votre porte monnaie et rien d’autres

D’ailleurs quatre semaines, c’est beaucoup trop. Je vous propose mieux et encore plus fort : faites vous un corps de rêve en quatre jours seulement !!! Si ça vous intéresse c’est ici

 

 

Rendez-nous Malabar

Si vous trainez comme tout adulte gourmand dans le rayon Confiserie ou si vous allez acheter des clopes, Vous avez du vous rendre compte que le Malabar a subi un lifting afin de rajeunir son image.

Et oui, à l’instar de Groquik, du cheval en survet de Poulain ou L’ours Prosper, Malabar a subi le diktat de la bienséance et du rajeunissement à outrance : la bonhommie, la bedaine apparente ou la virilité sont autant de critères qui n’ont plus lieu d’être dans notre société moderne où les enfants obèses grouillent.

Exit le sympathique blondinet à t-shirt jaune et place au Chat Mabulle !!!

Ceci dit depuis 1969, date de son apparition, M. Malabar avait déjà subi une sacrée cure d’amaigrissement passant d’une carrure de déménageur à celle d’un jeune adulte métrosexuel.

Bien sûr, les gens de Malabar étaient bien conscients que ce changement allait entraîner une vague de protestation avec pétition, courrier, forum et bien sûr page Facebook. D’ailleurs ils ont fait une belle FAQ pour expliquer que c’est la faute aux enfants et pas la leur… Depuis quand on demande l’avis à des connards de mioches, je vous demande…

Soit disant qu’ils n’ont pas d’affinité avec notre vaillant gaillard. Soit.. Mais pourquoi mettre à la place un con de chat avec une personnalité d’huître? La réponse marketing est tout aussi édifiante : “Mabulle “va accompagner les enfants dans la cour de récré…espiègle… Rebelle, blabla…”

 Et quitte à changer de mascotte, autant faire dans la coolitude : On lui colle des lunettes de soleil et une cravate jaune pour le rendre plus adulte. En ce qui me concerne prendre un animal qui peut se lécher l’arrière train pour vendre des chewing-gums, ça me laisse un arrière goût dans la bouche.

Ce changement m’a fait penser à un épisode des Simpsons où pour rajeunir la série Itchy et Scratchy, les producteurs introduisent un nouveau personnage cool : Poochie le chien. La ressemblance est assez troublante.

 

Mais le pire reste à venir puisque nos marketeux, à qui il restait surement quelques grammes de poudreuse, n’ont rien trouvé de mieux qu’introduire du Storytelling pour nous conforter sur le bien fondé de Mabulle.

Je vous livre ici la si émouvante histoire de Mabulle.

Petite parenthèse : le site Malabar est d’une mocheté affligeante, tout en flash qui rame avec un look qui ressemble au papier peint Brique de windows 3.1

 

 

Incognito avec un gros t-shirt Malabar….  Et puis Avec sa peau de blond, l’envoyer au Soleil, on se doute bien que c’est pour qu’il choppe un cancer de la peau. Ca évitera de payer trop longtemps une retraite “bien méritée”. Où peut-être a t-il été envoyé sur Sandy Island?

 

Ah Mabulle, l’ami des enfants, prêt à les aider mais qui se barre dès que l’occasion de présente.

 

La c’est la partie “Rémi sans famille” : sortez vos mouchoirs.

Les chats , c’est que des salauds, le monde extérieur est dangereux et les gens méchants. La liberté et l’émancipation n’apporte que des problèmes. Rentrez dans les rangs en savourant les joies de la société de consommation.

J’imagine aussi l’état des boyaux de ce pauvre chat englués par la pâte à mastiquer.

Vous noterez la réutilisation du même dessin de chat dans un souci d’optimisation du ridicule

 

Habituellement, un chat qui fouille une poubelle ressort avec une tête de poisson ou un reste de McDo. Mais pas Mabulle.

Que dire de la partie : révélation existentialiste sur comment se nourrir, où dormir et contrôler ses peurs. C’est pratiquement devenu un Jedi !!

 

l’âge de raison : le Chat, comme Ulysse après un long voyage, revient chez bobonne vivre pleinement sa relation zoophile à coup de “qui lâchera la plus grosse bulle”.

Dans un an, il a droit au Véto et à la castration.

 

Là ça devient Freudien : c’est la mort symbolique du Père.

J’espère qu’il est tout seul sur son île. Sinon tout le monde est bon pour finir avec un chewing-gum collé sous les pieds en allant sur la plage.

 

Et voilà 60 ans d’existence pour finir avec un matou ridicule qui mastique un malabar en quête d’un sens à sa vie.

C’est sûr, j’y crois, je suis convaincu

Allez en bonus, une page qui parle de l’usage des animaux dans la pub et de leur piètre considération

 

Les cités d’or : le retour

On a enfin un trailer du retour des cités d’or

C’est quand même assez fidèle à l’original

Bien sur, pour certaines voix, le temps a passé et les interprètes ont été changés

Mais bon, ça fait quand même plaisir

Par contra, aura t-on les petits documentaires à la fin ?

 

Because of you

On ne parle pas assez de Pierre Bachelet sur ce site

C’est juste peut être parce que je m’en tamponne complètement.

Mais pourtant comment ne pas se rappeler d’interprète inoubliable des corons, marionnettistes, quand on aura 20 ans en l’an 2001, thriller et autre Voodoo Chile….

Il a fallu que je zappe sur Champs Elysées ce samedi pour tomber sur le chanteur à grande bouche.

Ce qui me revient surtout en mémoire chaque fois qu’on cite ce chanteur, ce sont plus ces bande originales de film comme “Emmanuelle” et “Les Bronzés font du ski”.

C'EST MOI QUI L'EST FAIT

Et c’est là que commence l’histoire dans l’histoire. Accrochez-vous c’est parti…

1979, Pierre Bachelet compose cette musique de film. Par contre l’interprète, un illustre inconnu, s’appelle Jean Denis Perez. Pour sa prestation, il touche un cacheton de 2000 francs (850 euros)

Depuis le film a eu le succès que l’on sait et sa chanson avec…

2000 :  Jean Denis se réveille d’un coup et se dit mais bon sang, mais au fait, j’ai jamais touché un fifrelin en droit d’interprétation. Que cela ne tienne, le monde du show bizz est un monde merveilleux uniquement composé de gens honnêtes et vertueux. La preuve, à l’époque, j’ai été assez con pour ne rien faire notifier par Contrat.

La société productrice l’envoie bouler avec le postulat que l’interprète est une interprète. Que cela ne tienne, Jean Denis porte plainte, et se lance à la recherche de tous les témoins de l’époque pour leur faire certifier que la voix haut perchée de la chanson, c’est bien lui. Il réclame 800 000 euros de droits et de préjudices

2005 : les Prud’hommes lui donne raison mais la Société d’édition fait appel de la décision

2009 : Le tribunal d’appel de Versailles demande une expertise technique pour être sûr sûr que c’est bien lui qui chante. Celle ci conclue positivement en faveur du chanteur

2010 : la Chanteur est enfin reconnu comme l’interprète de la chanson. Mais une expertise est demandé pour estimer le montant des dommages et intérêts à réclamer.

2012 : La cour reporte sa décision pour éviter une contradiction de décision au motif que la société d’édition s’est pourvue en cassation en jugeant que la prescription de l’affaire entrainait sa nullité.

 

Bref  plus de 30 ans après c’est le gros bordel, Just because of Pierre Bachelet.

 

 

 

 

Faut pas pousser mémé

Ah les matins douloureux où l’envie de bosser est nettement moins forte que l’envie de pisser.

L’imaginaire télévisuel et cinématographique nous narre souvent les mille et une combines pour esquiver le devoir professionnel au profit d’un farniente à peine culpabilisé.

– J’ai une enfant qui est malade.

– J’ai une gastro.

– L’arrière cousin du côté de ma femme est mort.

– Eric Charden est mort

– Le petit chat est mort

– Ma motivation est morte.

C’est à partir de ce constat où l’on en vient souvent à enterrer plusieurs fois des membres de sa famille (je ne parle pas des culs de jattes) que cette publicité a été faite : souvenez vous de la cité de la peur : “oui mais elle a beaucoup souffert….

 

On refait la route

C’est vrai que je parle des mes états d’âme sur la route dans le sens maison-boulot mais jamais boulot-maison.

D’un autre côté, autant le trajet matinal connaît une montée (certes lente) de l’activité neuronale, terreau à de sombres réflexions, autant celui du soir n’est que le prémisse crépusculaire de toute pensée originale.

Imaginez-vous qu’un retour, ce n’est que le rembobinage, d’une scène déjà jouée : même virage, même radar, même embouteillage, même connard, même ennui.

 

Pour tromper la routine, la radio est un bon compagnon. Il faut bien sûr tomber sur le bon débat, la bonne émission, les bonnes personnes.

– On peut tenter la litanie sans fin de France Info comme bruit de fond pour, au final, ne rien retenir.

– On a aussi l’option France-Inter à condition de tomber sur un débat intéressant. j’ai un peu de mal de me taper une heure d’émission sur l’Ouzbékistan.

– Reste RTL et son émission “On refait le monde” qui tend à devenir le lieu d’arrêt au stand.

Ca fait pas mal d’années que j’écoute cette émission présentée alors par Pascale Clarke puis Nicolas Poincaré. C’était plutôt sympa avec des polémistes qu’on aimait ou pas.

Mais depuis 2010, c’est Christophe Hondelatte qui est revenu aux manettes et on peut clairement dire que ça s’est fortement dégradé.

Concernant l’animateur lui-même, le qualificatif “insupportable” est celui qui lui va le mieux : toujours à moitié hystérique, il ne peut s’empêcher de faire son show sans apporter un réel intérêt à cette émission. Le pire étant qu’il se croit drôle alors qu’il ne l’est pas : vannes pourries à la limite du clin d’oeil complice (ce qui est un réel plus à la radio), fausse impertinence caricaturale : “je me fais volontairement polémique : la mort c’est bien ou pas?“. Christophe Hondelatte arrive en général les mains dans les poches, pose sa veste en cuir et attrape les fiches bristol préparées par les grouillots. son seul rôle actif dans l’émission est de promouvoir la “langue de vipère” permettant aux auditeurs d’élire un des polémistes à coups d’appels surtaxés. Jeu complètement con puisque inévitablement, c’est le polémiste de droite qui gagne.

En résumé, Hondelatte est aussi bon journaliste que chanteur.

 

Mais bon , à la rigueur, on peut pardonner à l’émission quand les débatteurs savent plus relever le niveau que l’animateur. Heureusement, c’est souvent le cas avec des intervenants qui tentent de séparer le bon grain de l’ivraie.

Comme dans toute émission de ce genre, on se félicite de l’analyse de certains parce qu’elles sont intelligentes, raisonnées ou plus subjectivement en conformité idéologique avec bibi.

On s’irrite plus des points de vue différents. on râle seul dans sa voiture mais ça c’est le jeu ma pauvre Lucette : un débat, c’est de l’antagonisme et apprendre à écouter les idées de “l’autre”.

Mais parfois, je zappe totalement quand je sais qu’il y aura tel ou tel polémiste car ceux-ci ne s’inscrivent que dans une image provocatrice, réactionnaire et autocentrée. Enfermée dans leur caricature, ils ne font que se draper dans leur vertu, leur rôles de penseurs éclairés dans l’obscurantisme, vociférant ou se faisant le porte parole de la masse silencieuse (tellement pratique).

Parmi les pires et de loin, nous avons Ivan Rioufol et Elisabeth Levy. Si leur discours est plutôt à droite, il pousse l’accélérateur pour défendre le beefsteak d’une droite décomplexée genre néoconservateur.

Dans un tout autre rôle, nous avons Rokhaya Diallo, qui maintient toujours un certain flou sur ses convictions anti-racistes en faisant la promotion d’un multi-culturalisme à l’américaine, qui en ce qui me concerne, est loin de faire ses preuves. Il y a toujours une certaine ambiguité antre sa conception de la laïcité et la fait d’embarquer l’islam sur le terrain public. Mais néanmoins, ces idées et ses angles d’attaque sont intéressants.

Recentrons sur les deux tristes sires précédents


Ivan Roufiol est éditorialiste au Figaro, comme Yves Thréard et Alain Gérard Slama qui interviennent aussi dans l’émission. mais au contraire de ses petits camarades qui font preuve d’une analyse somme toute conforme à leurs convictions mais avec une ouverture d’esprit tout à leur honneur, Ivan Rioufol fait de ses idées un paradigme universel, une vérité immanente sans contestation aucune. C’est le roi du performatif : je le dis donc c’est vrai.

D’ailleurs ceux qui seraient amené à contester ses propos ne comprennent rien, sont bien-pensants, droits-de-l’hommiste, du racisme anti-raciste, et n’ont rien compris au monde ou au vrai message porté par la majorité silencieuse. Ivan Rioufol est frustré s’il n’a pas pu placer dans un texte “islamisme” “communautarisme”, “menace contre l’occident” et autre mot abominable. cet homme aurait été un pote de mac Carthy. Ivan Rioufol est le croisement fou entre un troll bien velu et un point Godwin.

Réac et fier de l’être, son discours est tellement prévisible qu’il n’a pas plus d’intérêt que le cri du yorkshire derrière une clôture.


Passons du petit toutou pour lectrice nonagénaire du figaro au Pitbull hurleur avec Elisabeth Levy.

Elisabeth Levy ,écrivain et journaliste du site Causeur.fr se résume en une phrase : “Non mais, y en a marre!!!

Toutes ses réponses se doivent de commencer avec cette phrase (qui rappelle un peu la ligne de défense d’Eric Woerth) en hurlant le plus possible. Je plains la personne en face qui doit manger grave du postillon. Et pour empêcher les interlocuteurs de débattre, elle coupera sans aucune retenue la parole pour entamer son deuxième cri de guerre : “Je ne peux pas laisser dire ça

Usant de la contre réthorique propre aux éléments de langage des néo-réacs, elle retourne l’argument de la démocratie, de la liberté en érigeant les idées conservatrices comme seules valeurs universelles et libertaires.

Pour imposer un discours réactionnaire, autoritaire et anxiogène (malgré hélas des analyses parfois de bon sens), on se déclare comme seul rempart d’ennemis qui semblent tout droit issus des films de propagande des années 30 : le bolchevik avec le couteau entre les dents, le feignant et oisif socialo qui va nous faire perdre la guerre, le parti de l’étranger et les étrangers de plus en plus nombreux

 

Petite remarque : le vendredi, c’est Bernard Poirette qui anime l’émission. Et rien que ça c’est un grand soulagement de retrouver un présentateur un peu plus posé et professionnel.

 

 

Bravo Jean-Pierre

Ca y est Jean-Pierre.

Après toutes ces années de travail acharné à nous faire croire qu’on vit dans un film d’Amélie Poulain, que maréchal-ferrand est une profession en plein boum, que le dernier fabricant de fixe-chaussette n’assure pas les commandes, tu l’as enfin ta récompense, ton trophée :
———->LE TROPHEE DE PLOMB
décerné par l’association de défense des animaux sauvages pour je cite “pour la diffusion récurrente de reportages faisant l’apologie de la chasse dans son journal télévisé. Le présentateur méprise des principes fondamentaux du journalisme, qui sont l’information et l’objectivité. Il prend en otage la ruralité en diffusant d’elle une image filtrée, déformant la réalité. Il se dispense trop facilement de donner la parole aux opposants à la chasse ou aux associations citoyennes de défense de l’écologie, qui sont une part de plus en plus représentative de la population rurale moderne.

C’est le summum d’une carrière sans tâche au service de la voix de la France Néo-Poujadiste où comme dirait Dassault, les mauvaises nouvelles n’ont pas lieu d’être.

petit florilège /

 

La faute au vocabulaire

 

La faute aux socialos…

 

La faute aux attachées de presse: