Photo

expoPetit zap sur l’émission Métropolis d’Arte. Un reportage sur une photographe américaine, Taryn Simon. Une exposition est actuellement à l’honneur dans un musée allemand. Cette expo montre la face cachée de l’amérique. Le principe : des photos parfois banales qui, à la première vue, vous amène à une certaine interprétation. Ensuite un texte sous la photo qui vous éclaire sur la véritable réalité de la photo…

Attention, comme le reconnaît la photographe, la réalité ne l’intéresse pas et ces photos sont souvent mis en scène. Néanmoins, l’effet est là et le talent aussi.

Laissez vous bluffer, perturber en cliquant sur ce lien.

Chuis à la bourre !!!!!

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Now playing: Beastie Boys – Dramastically Different
via FoxyTunes    J’avoue que la critiqe de livres, c’est bien mais ça me rend feignant; genre, je vais remettre à demain ce que je pourrais faire le soir même. Bilan tout un tas de pages lues sans vous en avoir causé. Loin de moi la prétention que celà puisse en quoi que ce soit changer la face du monde mais quand on doit bien se tenir à ce que l’on promet.

Donc voici rapidement et synthétiquement tout ça !!!! J’espère n’avoir rien oublié car j’ai eu la bonne idée de ranger 🙂

silverbergComme ça fait du bien de lire du bon Silverberg !!! C’est normal, c’est du vieux !!! Manière de rappeler que ces dernières oeuvres sont vraiment insipides. On retrouve dans ce roman ayant pour fond le tourisme temporel les thèmes que l’auteur aime aborder : l’antiquité, le cul et les paradoxes temporels.. Un petit roman jubilatoire à lire

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autremondeUne histoire fleuve (6 tomes parus en France) qui nous décrit un monde où la réalité virtuelle a envahi notre monde mais combien son accès dépend de la richesse des gens. Justement, il semble exister un “Autremonde” au main des plus puissants de ce monde. Ce n’est pas un grand roman mais on prend plaisir à lire les aventures des différents protagonistes dans leur longue longue quête de la vérité… L’auteur maîtrise bien son sujet, on ne s’ennuie pas et c’est loin d’être con….

J’aime bien… J’en suis au tome 3…

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larry niven Mince, ça fait longtemps que je l’ai lu celui là. Larry Niven est connu pour sa série des Anneaux Monde.. Beaucoup de descriptions de combats chiants dans l’espace. Mais la description de la civilisation extraterrestre est vraiment passionnante… L’intrigue est bien construite, les personnages sympathiques.

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pandoreQuatrième et dernier tome du space opéra dont je vous avais parlé naguère. Beaucoup de combats dans ce tome (ce que j’aime moyennement) mais l’histoire tient la route et la conclusion aussi. Je déteste ces histoires qui vous tiennent en haleine et finissent en eau de boudin. Dévoré en trois jours… Un vrai plaisir de lecture

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après dune Alors celui là, je ne savais même pas qu’il devait sortir aussi vite. J’avais moyennement aimé la première trilogie d’avant dune sur les maisons corrino, atreides et harkonnen. J’avais par contre bien aimé la trilogie du jhiad butlérien. ils m’avaient tenu en haleine, le style était vif et prenait tout fan de Dune à la Gorge. En ce qui concerne ce prmier “Après Dune”, je suis assez circonspect. En mettant de côté le plaisir de l’univers “Herbetien”, je trouve l’histoire un peu tiré par les cheveux. Je veux bien croire que l’intrigue a été construite a partir de notes de l’auteur originel mais ça fait une peu cousu de fil blanc et manque de profondeur … Néanmoins, on pardonne et on attend la suite.

echecUn livre fort sympathique sur le Bide, le flop, l’échec. C’est cruel mais jamais méchant. Le style est drôle et bien amené. Vous y trouverez toutes les recettes qui mènent au bide, comment s’en sortir… Ou pas 🙂 Vous saurez tout sur l’échac de l’opéra rock de Francis Huster, de la disparition de Patricia Kaas (vous ne vous en êtes même pas rendu compte) ou d’Yves Duteil.

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zéro sale con Attention, sous ce titre provocateur se cache une vraie analyse managériale !!! Ce “Petit guide de survie face aux connards, despostes, enflures, harceleurs, trous du cul et autres personnes nuisibles qui sévissent au travail” nous parlera à tous. Chacun d’eux nous doit subir la tyrannie des ces petits chefs, deces emmerdeurs et bien pensants qui vous pourissent la vien au quotidien sur votre lieu de travail. Ce livre parle aussi de vous, oui vous qui un jour comme tout le monde a été un sale con, a rabaissé un collègue ou lui a tout mis sur le dos pour satisfaire son égo. Et bien ce livre vous aidera c ontre l’ennemi extérieur et l’ennemi intérieur de l’entreprisE. Et finit avec cette conclusion : le sale con peut-il avoir aussi son utilité parfois. Très très bon livre !!!

Les pas gentils du jour

des policiers de Villeurbanne qui arrêtent un postier au motif que quand on est basané et qu’on s’appelle Mourad, on ne peut pas être un vrai postier et juste un voleur de vélo. Bilan : menottes et aux postes

des sénateurs qui votent un loi en pleine nuit pour exclure les personnes sans papiers des hébergements d’urgence.

Georges Bush qui met son veto pour empêcher la reconnaissance du génocide arménien par l’ONU.

Un juge américain pour avoir condamné à 220 000$ une femme pour avoir mis en partage 24 chansons sur Kazaa.

Denis Gautier Sauvagnac – mis en cause dans l’affaire de retrait en liquide de 5,6 millions d’euros à l’UIMM, confirmé par la présidente du Medef, Laurence Parisot, dans ses fonctions de négociateur en chef, pour assouplir les conditions de licenciement…..

Attention, ça va être chiant

Comme souvent le matin en allant au boulot, la circulation se traine dès que trois gouttes d’eau pointent leur nez. A croire que les gens craignent de se vautrer en glissant sur une flaque… Bref, ça n’a aucun rapport avec le sujet de ce billet

Donc, comme chaque matin, j’écoute France Info et particulièrement le débat qui oppose Nicolas Beytoux du Figaro à Roland Joffrin de Libération. Au delà du penchant partisan vers l’un plus que pour l’autre (devinez !!), on pourra dire que M. Beytoux me sidère…

Le sujet était l’avenir des stock-options. Et là le rédacteur du Figaro nous ressortir les vieilles sauces de l’avantage du capitalisme et de la libre entreprise, blablablah… Le plus étonnant c’est que ces apologistes soutiennent toujours une vision du libre échangisme datant de concept du 19ème siècle. Je ne parle pas D’adam Smith ou de David Ricardo, pour qui j’ai un certain respect (Une lecture intelligente de ces auteurs montre qu’ils sont moins dupes que ceux qui les citent) mais de Leon Walras. Il est le premier à avoir développé un modèle mathématique de l’optimisation des marchés en état de libre concurrence. Ce modèle s’appuie sur un certain nombre de règles restrictives (en gros tout ça pour dire que c’est po la vrie vie!!) : les échanges bilatéraux y sont interdits, toutes les offres et toutes les demandes convergent vers un commissaire-priseur qui affiche les prix : le marché est parfait et fournit des informations justes à l’ensemble des acteurs.

En conclusion c’est un bel objet mathématique d’un monde imaginaire. Pour finir d’enfoncer le clou, Léon Walras n’était pas du genre à croire à la pertinence de son modèle dans la vraie vie. Il était plutôt du genre socialiste agrarien.

Et malgré tout ça, toute une bande de neuneux économistes continuent à vouloir nous faire croire depuis que cet équilibre sous contrainte est l’idéal pour l’humanité. Bien sûr, ces neuneux servent habilement la soupe de ceux que ça arrange. Notamment, par exemple, ceux qui profitent d’un information pas du tout transparente pour vendre leurs actions au bon moment…

Quand j’entends dire que la filière ES est inutile, je me dis que tout ça va bien dans le bon sens. On sait bien que cette filière développe la compréhension élargie du monde (histoire, sociologie et économie) qui nous entoure et l’esprit critique. Et être critique et moins aveugle, c’est toujours dangereux pour les gens qui veulent nous faire croire que le monde correspond à un joujou mathématique du 19ème siècle.

Trop bête pour gouverner

sickochomsky

Étonnamment, deux événements similaires se sont produits en même temps ce Week-end : je suis allé voir Sicko de Michael Moore au cinéma et j’ai commencé la lecture d’un nouveau bouquin de Noam Chomsky “le doctrine des bonnes intentions”.

Le film de Moore au delà des habituelles gouailles et mauvaise fois du réalisateur est un très bon film, structuré, humain et objectif. Il devrait aussi permettre aux habituels Jérémies de notre système social d’arrêter de se plaindre. Notre système est peut-être bancal, déficitaire et quelque peu corrompu. Il n’en reste pas moins qu’il met l’humain au centre du dispositif et non pas d’avides sociétés d’assurance maladie, pour qui aider leurs clients, c’est faire moins de profit. Un assuré mort rapporte plus qu’un assuré à soigner.

La question centrale du film comme du livre de Chomsky est : comment un pays si civilisé est il arrivé à de tels extrêmes??? Comme un peuple sensé peut-il accepter que ses dirigeants privilégient les puissances de l’argent (tiens tiens ) au détriment du bienfait collectif. Pourquoi les électeurs votent pour des gouvernements qui leur mentent et ne se révoltent pas. Et c’est là qu’entre en jeu toute la beauté de la propagande. L’individu est considéré comme trop bête pour juger de ce qui est bon, seule l’élite sait ce qui doit être fait et doit employer tous les moyens pour y parvenir. L’acculturation, le contrôle des informations sont autant de facteurs qui aveuglent le citoyen lambda. Mais le système vous broie dès votre plus jeune âge. Des études qui vous endettent dès 20 ans, un boulot où travailler plus est la seule manière de s’en sortir avec la peur de tomber malade et de voir tout s’effondrer. Et au dessous de ça, la chape de paranoïa tissée par le gouvernement sur la crainte de l’ennemi extérieur ou intérieur. La peur est la petite mort… Comme qui dirait…

La Fin est proche

doomsday clock Au cas où vous ne le sauriez pas, je ne suis pas un optimiste convaincu en ce qui concerne la survie de l’humanité. L’actualité, le principe d’entropie, rien ne me pousse à croire que le point de non-retour n’est pas atteint. Cette conviction n’est pas née d’un fatalisme mystique ou iraisonné. De nombreux observatoires valident ce point de vue.
Connaissez vous par exemple “L’horloge du jugement dernier”??? c’est une horloge symbolique maintenue depuis 1947 par le conseil d’administration du bulletin des scientifiques atomiques à l’université de Chicago. Elle représente l’histoire de l’humanité reportée sur un cycle d’horloge où minuit représente la fin du monde. Au départ le placement de l’aiguille des minutes se basait sur les risques d’une guerre nucléaire globale mais a depuis évolué pour prendre en compte les armes nucléaires, les bouleversements climatiques et les nouveaux développements en biotechnologie, nanotechnologie qui pourraient influer sur l’espérance de vie de l’humanité.
Actuellement l’aiguille est positionnée sur minuit moins cinq. l’aiguille a été avancée de deux minutes en 2007 suite aux essais nucléaires en Corée du Nord, aux politiques bellicistes des Etats-unis et de la Russie. sans compter l’Iran et la dégradation accélérée de l’environnement

Je vous invite à aller consulter ce bulletin et son historique sur http://www.thebulletin.org/. Essayez d’être optimiste après ça 🙂

Chronique d'une branlée annoncée

A voir comment les leaders socialistes réagissent récemment, y a de fortes chances de voir le petit agité être réélu pour cinq ans.

-Jospin fait son donneur de leçon alors qu’il a été un candidat pitoyable, un mauvais perdant et a fini par faire un caca nerveux quand personne n’a voulu de lui en 2006. Qu’il retourne à l’îe de Ré et qu’on dynamite le pont par pitié.

– Segolène est en plein trip mystico-chrétien, s’embrouille et dit n’importe quoi sans réfléchir au lieu de tirer habilement parti de la situation.

– DSK part au FMI, histoire de revenir dans 5 ans, espérant se mettre au dessus des querelles du parti et revenir comme le sauveur. Attendons de voir… Vu que le FMI n’a pas franchement une image sympathique dans ses politiques d’accompagnement des pays en voie de développement, le pari est risqué.

– Delanoë travaille son image à coup de site internet et tente de s’émanciper de ses amis boulets (jospin pour le citer)

– Les seconds couteaux piaillent et s’agitent à l’intérieur même des courants.

Une fois de plus, l’opposition à Sarkozy et à sa politique du “je m’agite beaucoup pour faire croire que je fais plein de trucs” se fédèrent autour des associations, du Modem et des quelques libres penseurs pas encore lobotomisés. Et bien sûr notre cher Canard Enchaîné….

Le parti socialiste me désole et m’attriste. Comme d’habitude, les seuls espoirs de faillite du pouvoir viendront de l’intérieur de celui-ci tant la main-mise despotique du président rend explosive la conduite du gouvernement.

Attristant de voir que l’état de l’économie française, des finances publiques vont mettre une bonne claque dans la figure des français à qui on va faire manger de la rigueur cette automne et faire se serrer la ceinture cet hiver. Tandis que certains passeront de belles vacances dans leurs résidences défiscalisées de Megêve.

à trop cliquer

la main du diable:

On cherche une info sur la tournure grammaticale de Nonobstant et j’aterris là : ABSURDITIS, site (suisse de toute évidence) qui recèle déjà quelques pépites. Je vous laisse le soin de vous balader dessus (notamment la partie dico).

Et par ricochet, et par un clic malheureux, on se saborde la journée en allant .

Mais le pire, c’est que je partage les mêmes valeurs que ces gens là

Ce sont les petits détails qui font tout

bordeaux

Bordeaux secret et insolite

Philippe Prévôt, Richard Zéboulon – Éditeur : les Beaux jours, Paris

En fait, au départ, je bataillais pour acheter une revue spéciale et spécieuse consacrée à Bordeaux et à son classement au Patrimoine de l’Unesco. J’ai fini par la trouver au Virgin (pas de commentaire 🙂 mais je suis tombé sur ce livre. La revue était ennuyeuse et pompeuse, faisant la part belle à la magnificence et la grandiloquence. Une vraie revue pour bordelais qui pérore. Dans ce bouquin, j’ai trouvé bien mieux. J’ai trouvé les réponses à toutes mes interrogations de pedestres bordelais. Sur ces petites choses qui trainent ici et là et dont personne ne parle. Ces maisons aux façades étranges, ces stèles effacées, ces grafittis ignorés qui témoignent plus que tout autre que Bordeaux est une ville qui a traversé les siècles. Rien que pour ma rue, ce livre m’a éclairé sur toutes mes interrogations. Non, je dirais pas ma rue 🙂

Les photos sont très jolies, l’auteur maîtrise son sujet et a toujours le souci de sortir des sentiers battus. Un livre indispensable pour les esprits curieux et les vrais amoureux de l’histoire de Bordeaux

L'éternité c'est long, surtout vers la Fin

stephen baxterJe déteste ce livre. Je le déteste parce que je dois attendre la suite. Stephen Baxter est doué très doué. Il arrive à faire un livre qui donne le vertige tellement il touche à de nombreux sujets : la conquête spatiale, le devenir de l’homme et de l’univers, les probabilités, l’évolution d’autres espèces, les univers parallèles. La narration va à toute vitesse, tout semble s’emballer schizophréniquement. Et le plus miraculeux, c’est que la sauce prend et ne retombe pas.

Le début ressemble à un film de propagande de la Nasa (pas vraiment en fait) sur le rêve d’un homme de repartir à la conquête de l’espace,. Reid Malenfant voit loin, très loin et rêve d’une humanité occupant la galaxie.

Mais il trouvera sur son chemin un autre homme qui voit encore plus loin, jusqu’à la fin des temps ou l’Univers n’est plus que noirceur et froideur. Mais un homme qui voit aussi à court terme ou tout semble présumer d’un effondrement de la terre dans les 200 ans à venir (j’avoue que l’explication probabilistique est un peu confuse).

Ce livre est comme une fusée qui décolle. Au début vous vous sentez écrasés. Mais par la suite, vous vous sentez plus léger et pris par les défis à relever

Je déteste ce livre, il est trop prenant 🙂

Je travaille dans une world company

Pour ce qui l’ignore, je bosse dans une boite d’informatique qui fait des logiciels hospitaliers. Pour ce qui l’ignore, nous sommes la filiale américaine d’un société américaine genre 20ème entreprise mondiale. Aussi étonnant que cela paraisse, nos aimables managers semblent penser que cette seule évocation suffirait à voir des millers de développeurs se bousculer et se battre pour des salaires de misère au seul nom de notre société.

Imaginez la Scène…

Le manager : Tu as travaillé chez nous 6 mois sur un développement prioritaire à partir d’un cahier des charges inexistant sous les ordres d’un chef qui ne connaît pas ton nom et gratuitement. En récompense, nous te proposons un cdd de 6 mois pour un salaire de misère.

Le développeur : mais on me propose un CDI pour un salaire mirifique pour faire des applis pourries sur des téléphones portables…

Le manager : Oui mais attention, tu travailles pour une world company!!! Soumets toi ou retourne dans les limbes de l’oubli..

Le développeur : oui, oublie !!

Et ainsi va la vie dans ma société. Les clients subissent des bugs, la hotline fait bureau des pleurs et debugage manuel. La production surfe fièrement sur les nouvelles évolutions inabouties, les commerciaux ne comprennent rien et font des claquettes et les sousous continuent à rentrer.

Tout le monde court après tout le monde sans que personne ne sache d’où vient la stratégie qui consiste à remettre à demain les décisions de l’année dernière.

Et tout ceci tant que nos bénéfices permettront au retraité de Floride de continuer à payer leur abonnement au cable pour voir Matlock. Peu importe que tout celà pollue, que des gens prennent des décisions qui tueront leurs enfants de cancer ou de guerre dans 10 ans. Les retraités de Floride, leurs enfants ne vont plus les voir, l’avenir, ils n’en ont plus vraiment… Quand au travailleur actuel, ils continuent à capitaliser joyeusement pour un avenir qu’il ne verra jamais.

Je ne me sens pas meilleur que d’autres. Mais je n’arrive pas à comprendre comment des dirigeants peuvent préférer gonfler leurs bénéfs en polluant. Comment une éducation peut rendre avide au point de sacrifier sa progéniture. Toujours cette envie d’être l’homme le plus riche du cimetière.

D’un autre côté, avec tous ces gens malades à soigner, il faudra des logiciels pour les hôpitaux… C’est bon pour mon avancement ça…. Et merde 🙁

Récidive

Un puits dans les étoiles

Un puits dans les étoiles de Robert REED – Edition Bragelonne

Y a pas si longtemps, j’avais fait la critique du premier tome “Le grand vaisseau” critique pas vraiment élogiuse d’ailleurs.

Et bien , comme quoi je suis pas rancunier, j’ai lu la suite. Et bien, ça va un peu mieux, l’histoire est moins pénible à lire, les personnages sont plus sympathiques et gagnent en profondeur. On sentirait presque poindre de l’humour !!

En gros l’histoire, notre gros vaisseau continue son périple et le voilà obligé de traverser une no man’s land sans planète où seule l’obscurité règne. Bon bref, je l’ai lu parce qu’à Oléron faut bien s’occuper.

Si le space Opéra descriptif vous attire peu, passez votre chemin 🙂

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Now playing: Sublime – Thanks
via FoxyTunes